Ados : zéro de lecture ?

Article de Catherine Simon mis à jour le 2 décembre 2012 sur le site du monde.fr

« Paradoxe : la massification scolaire – notamment marquée par la généralisation de l’accès à l’enseignement secondaire et par l’extension de la scolarité au collège après 1976 – s’est accompagnée d’une baisse de la lecture des livres. « Depuis une trentaine d’années, c’est un fait : chaque génération lit moins que la précédente ». (…)

L’idée que des ados lecteurs arrêtent de l’être laisse perplexes Sybille Lesourd et Aude Revol. « Dire que les ados décrochent ? J’ai parfois l’impression qu’ils n’ont pas accroché du tout. Qu’ils vivent dans un monde sans livres », remarque Sybille Lesourd. La faute à pas d’chance ? « L’amour des livres, c’est comme pour le théâtre : pour que les enfants aiment ça, il faut qu’ils se rendent compte que les adultes autour d’eux y trouvent plaisir. Pas forcément les parents, bien sûr. Mais ça aide… ». (…)

« Le rapport des élites aux livres et à la lecture a changé, relève Sylvie Octobre. L’essentiel, aujourd’hui, quand on veut dominer, ce n’est pas de lire ou d’avoir beaucoup lu, mais d’être capable, dans un système d’hyperinformation, de repérer ce qui va vous servir. Lire Kant ou Flaubert, cela reste utile. Mais ce n’est plus suffisant. » La manière de lire, elle aussi, a changé – radicalement : avec le numérique, la lecture devient fragmentaire, non linéaire. »

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Perdre son temps : la nouvelle fracture numérique

Publié par Xavier de la Porte le 4 juin 2012 sur le site internetactu.net

« Une étude publiée en 2010 par la Kaiser Family Foundation a montré que les enfants et adolescents dont les parents n’avaient pas l’équivalent du bac passaient 90 minutes de plus par jour à utiliser les médias que les enfants de familles plus favorisées socioéconomiquement. En 1999, la différence n’était que de 16 minutes. “Malgré l’utilisation éducative potentielle des ordinateurs, la réalité est que leur usage éducatif ou pour la création de contenu ayant du sens est minuscule comparé à leur usage pour le divertissement pur”, explique Vicky Rideout, qui a mené l’étude pour la Fondation Kaiser, “au lieu de réduire la fracture, ils augmentent le fossé du temps gaspillé”. Même si les enfants de familles éduquées jouent aussi beaucoup, le défi est donc accru pour les parents et enfants de familles défavorisés, ceux qui étaient censés profiter de la réduction de la fracture numérique. L’article montre ensuite que les conséquences peuvent parfois être désastreuses, notamment pour la scolarité. »

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Le Débat, n°171, septembre-octobre 2012

PUBLICATION
Revue Le Débat, n°171, septembre-octobre 2012, Editions Gallimard.
185 x 260 mm ; 192 pages

L’ANNÉE PRÉSIDENTIELLE
LES PARADOXES D’UNE ÉLECTION. Marcel Gauchet, Roland Hureaux : Un échange.
Stéphane Rozès : LE SENS DE L’ALTERNANCE. Entretien.
Éric Dupin : LE DRÔLE DE RETOUR DE LA GAUCHE AU POUVOIR.
Paul Thibaud : BILAN : DROITE DÉCONSIDÉRÉE, GAUCHE INACTIVÉE.

Bruno Le Maire : POUR UN RENOUVEAU DE LA DROITE RÉPUBLICAINE.

L’EURO, LA GRÈCE, L’ÉNERGIE
Franck Dedieu, Benjamin Masse-Stamberger et Adrien de Tricornot : LE PROTECTIONNISME POUR SAUVER L’EURO.
Sophia Mappa : POURQUOI L’EUROPE NE COMPREND PAS LA CRISE GRECQUE.
Jean-Marc Jancovici : LES LIMITES ÉNERGÉTIQUES DE LA CROISSANCE.

Robert Badinter : FIN DES LOIS MÉMORIELLES ?

ANNÉES 1960 : SOUS LE SIGNE DE LA THÉORIE
Antoine Compagnon : 1966 : ANNUS MIRABILIS.
Philippe Sollers : RÉVOLUTION ET RÉGRESSION. Entretien.
Charles Melman : L’AVENTURE LACANIENNE. Entretien.
Pierre Daix : LE PARTI EN PORTE À FAUX Les communistes, la culture, la jeunesse dans les années 1960. Entretien.
François Dosse : LA COURSE DES AVANT-GARDES. « Cours, camarade, le vieux monde est derrière toi ».

LES RÉVOLUTIONS ARABES ET L’ISLAM
Hela Ouardi : DE L’AUTORITÉ EN ISLAM.
Julien Loiseau : QU’EST-CE QUE LA CHARIA ?
Gilles Kepel : JOURNAL DE LIBYE.

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Schools We Can Envy

Compte-rendu par Diane Ravitch du livre de Pasi Sahlberg « Finnish Lessons: What Can the World Learn from Educational Change in Finland? » publié le 8 mars 2012 dans la New York Review of Books.

In recent years, elected officials and policymakers such as former president George W. Bush, former schools chancellor Joel Klein in New York City, former schools chancellor Michelle Rhee in Washington, D.C., and Secretary of Education Arne Duncan have agreed that there should be “no excuses” for schools with low test scores. The “no excuses” reformers maintain that all children can attain academic proficiency without regard to poverty, disability, or other conditions, and that someone must be held accountable if they do not. That someone is invariably their teachers.

Nothing is said about holding accountable the district leadership or the elected officials who determine such crucial issues as funding, class size, and resource allocation. The reformers say that our economy is in jeopardy, not because of growing poverty or income inequality or the outsourcing of manufacturing jobs, but because of bad teachers. These bad teachers must be found out and thrown out. Any laws, regulations, or contracts that protect these pedagogical malefactors must be eliminated so that they can be quickly removed without regard to experience, seniority, or due process.

The belief that schools alone can overcome the effects of poverty may be traced back many decades but its most recent manifestation was a short book published in 2000 by the conservative Heritage Foundation in Washington, D.C., titled No Excuses. In this book, Samuel Casey Carter identified twenty-one high-poverty schools with high test scores. Over the past decade, influential figures in public life have decreed that school reform is the key to fixing poverty. Bill Gates told the National Urban League, “Let’s end the myth that we have to solve poverty before we improve education. I say it’s more the other way around: improving education is the best way to solve poverty.” Gates never explains why a rich and powerful society like our own cannot address both poverty and school improvement at the same time.

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A quoi sert l’éducation secondaire ? Volte-face d’une ministre américaine

Texte de Diane Ravitch initialement publié dans The Nation (New York) du 14 juin 2010, sous le titre « Why I changed my mind », puis traduit par Le Monde Diplomatique.

Lorsque je suis entrée dans l’administration de M. George H. W. Bush, en 1991, en tant que vice-ministre de l’éducation, je n’avais aucune idée arrêtée sur la question du « libre choix » en matière d’éducation ou sur celle de la responsabilisation des enseignants. Mais, lorsque j’ai quitté le gouvernement deux ans plus tard, je défendais le principe de la rémunération au mérite : j’estimais que les enseignants dont les élèves obtenaient les meilleurs résultats devaient être mieux payés que les autres. Je soutenais aussi la généralisation des tests d’évaluation, qui me semblaient utiles pour déterminer avec précision quelles écoles avaient besoin d’une aide supplémentaire. J’applaudis donc des deux mains quand, en 2001, le Congrès vota un texte allant en ce sens, la loi NCLB (« No Child Left Behind », pas d’enfant laissé sur le bord du chemin), et de nouveau lorsque, en 2002, le président George W. Bush signa son entrée en vigueur.

Aujourd’hui, en observant les effets concrets de ces politiques, j’ai changé d’avis : je considère désormais que la qualité de l’enseignement que reçoivent les enfants prime sur les problèmes de gestion, d’organisation ou d’évaluation des établissements.

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Enseignement : PISA et le mirage finlandais

Article écrit par Bruno Sedran et publié dans Pro J, n°3, septembre-novembre 2012.

Aujourd’hui, l’école ne peut que susciter une immense déception face aux attentes démesurées dont elle est investie : autonomie de l’enfant, épanouissement individuel, citoyenneté, égalité, etc. C’est pourquoi, dans la morne plaine des réformes scolaires, médias et politiques armés du gps OCDE calibré sur PISA (International Programme for Student Assessment) ont leurs regards braqués sur un pays européen qui tel une oasis se détache sur la ligne d’horizon : la Finlande. En effet, alors que dans les années 80 le système éducatif finlandais semblait médiocre et que dans les années 90 on ne pouvait voir de l’extérieur de grands changements, les résultats de PISA publiés le 4 décembre 2001 ont pris tout le monde par surprise. Dans les trois domaines académiques – mathématiques, sciences et compréhension à la lecture – la Finlande était une des nations les plus performantes des pays de l’OCDE. On aurait pu croire à un «incident» isolé, le dernier sursaut d’un mourant mais les chiffres étaient bien là et des observateurs des quatre coins du monde se rendirent sur place pour comprendre ce nouveau miracle. D’autant que ce qui s’était produit en 2001 s’est répété ensuite. Jusqu’à la dernière enquête en date, en 2009, les résultats de la Finlande sont toujours aussi bons. Au classement général «Comparaison des performances des pays et des économies», elle se positionne à la troisième place après Shanghai et la Corée du Sud, bien au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE. Au niveau de la compréhension à l’écrit et de l’acquisition de la lecture, la Finlande est toujours sur le podium en troisième position derrière les mêmes pays. La Belgique est également au dessus de la moyenne OCDE mais se positionne à la 11ème place (moyenne OCDE 2009 = 493 ; Finlande = 536 ; Belgique = 506). Les résultats sont du même ordre dans la section «culture mathématique» et «culture scientifique». Mais le plus surprenant et le plus important peut-être est que l’incidence du milieu socio-économique dont sont issus les élèves sur les résultats scolaires est très faible en Finlande contrairement à la Belgique (1).

Depuis lors, la Finlande est devenu un foyer d’attraction fascinant pour toute personne qui s’intéresse aux questions d’éducation, véritable paradis pour certains, mystère pour d’autres, source d’inspiration pour beaucoup. Car si, dans l’après-guerre, le débat s’est focalisé sur les méthodes d’enseignement (méthode traditionnelle vs. pédagogies nouvelles), la question éducative est en train de prendre une autre tournure qui permet d’éclairer cet intérêt pour le système finlandais. Ce qui  se joue actuellement tourne de plus en plus autour de la question des conditions et du contenu de l’enseignement.

Mais avant d’ébaucher une analyse de la réussite finlandaise, il convient de se pencher sur ce qu’est le programme PISA et ce qu’il évalue afin de comprendre les résultats.

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Vu de Finlande

Article de Guy Selderslagh paru dans Entrées libres, n°38, avril 2009.

« Nous n’échapperons pas à une évolution, qui nous mènera à une plus grande hétérogénéité du public, à un moindre consensus social et à une école confrontée aux mêmes problèmes qu’ailleurs en Europe ». Cette confession, faite en petit comité, est celle de Heikki, le placide et réaliste directeur d’une école primaire pilote, dans le nord de la Finlande. Cela nous change du discours officiel et de son marketing empreint d’une légitime fierté nationale, qui ne cèle rien de l’excellence à tout crin du modèle finlandais.

En effet, depuis 2000 et la publication des premiers résultats des tests PISA, on nous a habitués à décrire la Finlande, qui se maintient en « pôle position » dans les différentes sessions du test international, comme un eldorado pédagogique nordique. L’occasion nous fut donnée, grâce à un voyage d’étude européen, d’y aller voir de plus près et d’interroger tant la réalité scolaire et sociale finlandaise que les conditions de transférabilité du modèle prôné par ses vigoureux prosélytes. Nous ne pouvons ici, bien sûr, assurer que de ce que nous avons vu.

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Ils ont tué l’histoire-géo

Article de Jean Sévillia publié sur le site Le Figaro.fr le 27 août 2012.

Quelques exemples des errements de l’enseignement de l’histoire à l’école, valables autant en Belgique qu’en France :

« En dépit du discours officiel qui prétend le contraire, la chronologie, condamnée il y a plus de trente ans au nom d’une approche thématique et transversale de l’histoire, n’est toujours pas rentrée en grâce. N’importe quel assistant de faculté peut raconter d’édifiantes anecdotes à ce sujet, beaucoup d’étudiants de première année hésitant à situer les Mérovingiens par rapport aux Carolingiens ou peinant à aligner correctement la liste des régimes politiques français du XIXe siècle, du Premier Empire à la IIIe République. Et encore s’agit-il de jeunes attirés par l’histoire! En première, le découpage thématique a ceci d’aberrant, par exemple, que le programme prévoit un module sur «La guerre au XXe siècle» qui précède celui qui concerne «Le siècle des totalitarismes». Or comment comprendre la guerre de 1939-1945 sans connaître Hitler? »

« Au collège comme au lycée, sous prétexte d’initier les élèves à la critique des sources, b.a.-ba méthodologique de l’historien, on les fait travailler sur de sacro-saints «documents» qu’ils n’ont en réalité ni la culture ni la maturité nécessaires pour analyser. Ils n’en tirent que l’interprétation donnée par le professeur ou le manuel. Si l’objectif est d’éveiller la curiosité individuelle, c’est raté. »

« À raison de deux heures de cours par semaine, le lycéen qui prépare le bac de français est tenu, en histoire, de s’initier à la période qui court du milieu du XIXe siècle aux années 1960. Soit l’industrialisation de la France (et de l’Europe), la montée des nationalismes, la colonisation, deux guerres mondiales, le totalitarisme… Un champ si large qu’il devient même difficile de ne faire que le survoler, comme en conviennent tous les profs. »

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Les ambiguïtés de la condition contemporaine des jeunes

Article écrit par Martin Dekeyser et publié dans Pro J, n°2, juin-août 2012.

Les jeunes jouissent aujourd’hui d’une autonomie plus forte, plus étendue et plus précoce qu’auparavant.

En tout premier lieu, ils bénéficient d’une autonomie culturelle inédite à l’égard de leurs parents (1). Ceux-ci ne cherchent plus à encadrer la culture de leurs enfants. La famille n’est plus un lieu de reproduction mais de cohabitation culturelle. Dès l’enfance, les nouveaux venus sont encouragés à développer leur propre univers culturel pour se réaliser et disposent, pour ce faire, d’un lieu privatisé au sein de la maison et de tout l’équipement personnel nécessaire.

Cette culture autonome est une culture commune : les objets culturels les plus importants sont ceux que l’on peut partager avec les autres.

La sociabilité des jeunes s’opère en effet désormais en grande partie via le groupe des pairs. Le prestige est lié à la taille du réseau relationnel que l’on se constitue, au capital relationnel accumulé. Pour être populaire, il faut avoir beaucoup d’amis. Cette sociabilité se caractérise par le partage des émotions et des délires, la mise en scène de soi et la communion affective.

D’où l’importance de connaître la culture populaire et commerciale pour s’insérer socialement. Celle-ci fournit, via le relais des médias de masse et de la mise en image puis des discussions et échanges entre pairs via les nouveaux moyens de communication, un savoir directement mobilisable en groupe qui consiste, d’une part, en un répertoire de modèles moraux, féminins et masculins, qui permettent de s’initier à la grammaire amoureuse, amicale ou relationnelle, d’autre part, en une vaste panoplie d’objets culturels qui sont autant de signes de reconnaissance parmi lesquels chacun peut développer ses préférences, du moment qu’elles sont partageables et permettent de s’insérer dans un groupe, quel qu’il soit : émissions de télévision, films, célébrités, goûts musicaux, mais aussi manières de se vêtir, de marcher, de parler, de se coiffer, etc.

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Transmettre, apprendre: pourquoi ? comment ?

Marcel Gauchet donnera une conférence dans le cadre de l’Université d’été 2012 du SeGEC (Secrétariat Général de l’Enseignement Catholique) consacrée cette année au thème « Transmettre, apprendre : pourquoi ? comment ? » le 24 août 2012 à 14h à l’Université Catholique de Louvain à Louvain-la-Neuve.

En aout 2011, Alain Eraly a montré à quel point l’autorité, entendue comme « l’exercice légitime d’un rôle et d’un pouvoir hiérarchiques » est nécessaire à l’organisation de l’espace collectif. Jean-Pierre Lebrun nous a indiqué comment depuis 50 ans cette autorité est culturellement mise hors-jeu et à quel point plusieurs générations ont intégré un fonctionnement qui contourne, omet, oublie l’autorité.

La transmission est une victime collatérale de cette remise en cause. Elle suppose un individu acceptant d’endosser un savoir qui, par essence, le précède et dont il n’est pas l’auteur. On a parfois l’impression aujourd’hui qu’elle est remplacée par une centration sur l’acte d’apprendre, sur l’individu autonome, et sur sa capacité de construire, à partir de lui-même, des savoirs. Dans ce modèle de fonctionnement horizontal, le sujet est le centre, à la fois point de départ par ses besoins et ses motivations et point d’aboutissement par la nécessité revendiquée de rendre ses apprentissages réalisables par ses propres forces et ressources. La place des savoirs, l’exercice de l’autorité, la fonction de l’école sont sensiblement modifiés. Mais la transmission continue à fonctionner : transmission familiale, scientifique, artistique, etc.

Comment dès lors repenser cette transmission dans la modernité, sans nostalgie d’un passé révolu, mais aussi sans pudeur excessive ? Comment concevoir un cadre scolaire qui fasse droit à l’irréfragable dimension transmissive de l’apprentissage sans négliger l’individu ?

Transmettre, apprendre : pourquoi, comment ? L’Université d’été 2012 sera l’occasion d’entendre le point de vue du philosophe et historien Marcel Gauchet sur la question. Marc Crommelinck de l’UCL apportera son regard de psychologue et de spécialiste des neurosciences sur les mécanismes de l’apprentissage et de la transmission.

Pour aborder d’autres aspects du sujet, le thème sera également décliné en ateliers: soit sous forme de conférences, soit sous forme de discussions à partir de témoignages et d’expériences.

Renseignements : Service d’étude du SeGEC, Avenue Emmanuel Mounier 100, 1200 Bruxelles. Tél : 02 256 70 72. Mail : universite.ete@segec.be

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